Comment s'explique 
          sa longueur ? 
           
          - La fréquence 
          des envois est très aléatoire, certes sur des critères 
          saisonniers, mais pas seulement. 
          - La fréquence des mises à jour, elle, sans être 
          totalement indépendante des obligations personnelles des uns 
          et des autres, tous bénévoles et appelés à 
          plein d'autres occupations, est plus régulière. 
          - Mais si vous avez regardé tous les points relatifs au travail 
          sur les photos, vous aurez compris que nombre de tâches manuelles 
          incontournables pour assurer la qualité de notre présentation 
          finissent par faire du délai entre les envois et leur présentation 
          sur le site. 
          - Pour peu que le rythme des contributions soit nettement supérieur 
          à celui de présentation sur le site, il s'amoncelle un 
          en-cours qui a atteint, en 2007, plus de 6 000 envois avec un délai 
          de mise à jour de l'ordre de quinze mois. 
          Nous en avions résorbé l'essentiel début 2008 avec 
          un en-cours ponctuellement inférieur à 1 500 envois, 
          mais parce que peu de nouveaux nous avaient rejoints en 2007, les modalités 
          de contribution à l'époque, sans notre formulaire, étant 
          assez contraignantes et donc facilement décourageantes. 
          - Merci 
          donc d'être avant tout patients. Comme disait 
          une contributrice, "la plupart de ces édifices ont des siècles 
          d'existence, ils ne sont plus à un an près pour leur mise 
          en ligne sur Clochers de France !" 
          - Toutefois, les envois du premier jour 
          des nouveaux venus, lorsqu'ils ont été transférés 
          vers le site lui-même à l'occasion d'un arrêté, 
          sont remontés en priorité dans le prochain lot de mise 
          à jour, afin de permettre au contributeur de 
          voir un minimum de ses premières photos sur le site sans attendre 
          les délais évoqués ci-dessus.  
           
           
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